Des photos d’art gravées dans le marbre des blockchains. Les tokens non fongibles, ou NFT, sont rendus uniques grâce à l’immutabilité des réseaux blockchains. Cette technologie a permis de développer une nouvelle forme d’art numérique qui s’arrache à prix d’or dans de prestigieuses maisons de ventes aux enchères . L’artiste photographe Nicolas Bets a adopté cette avancée technique de l’Art pour transposer ses œuvres photographiques sur blockchain.
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Un artiste plongé dans la photographie depuis son plus jeune âge
L’artiste Nicolas Bets a véritablement été baigné dès sa jeunesse dans l’art photographique. Arrivé à Paris à l’âge de 17 ans depuis sa Belgique natale, il souhaitait déjà devenir photographe de métier, comme sa mère avant lui.
Il est rapidement diplômé de l’école de photographie de Paris avant de décrocher un premier emploi en tant qu’assistant de Claus Wickrath. Trois années plus tard, il deviendra l’assistant de Jean-Daniel Lorieux, avant de prendre son envol et de créer ses propres œuvres à part entière. Son art est ainsi décrit dans sa biographie visible sur son site Internet :
« Ses photographies, toujours printanières, illustrent principalement la femme sous un angle inattendu et décalé. Le travail de Nicolas Bets apporte une réelle fraîcheur au monde de la photographie de mode. Il en résulte une scénographie soigneusement chorégraphiée et une réelle spontanéité. »
Extrait de la biographie de Nicolas Bets
Nicolas Bets présente sa nouvelle série de photos-NFT « Curlers et Spider à L.A. »
Au cours des deux dernières années, l’artiste-photographe a débuté son incursion dans le domaine crypto avec les tokens non fongibles, en réalisant notamment plus de 140 000 dollars de ventes dans cet espace numérique innovant, dont un NFT dépassant à lui seul les 13 000 dollars. Et pour ce mois de mai 2024, Nicolas Bets va présenter le troisième volet de la saga des bigoudis en NFT, en exclusivité sur la plateforme d’échange SuperRare.
Intitulée « Curlers and Spider in L.A », sa dernière série de photographies met donc en valeur la fameuse « Cité des Anges », dans des prises de vue où l’artiste a intégré également le personnage de Spider-Man :
« Son côté amusant et mystérieux, qui apparaît sur certaines images, a apporté une touche de bande dessinée à mon atmosphère chic et décalée. C’était une fusion parfaite entre l’univers des super-héros et l’élégance des bigoudis. (…) Pour réaliser cette série, il a fallu 4 mois de préparation, et j’ai emmené toute mon équipe de Paris à Los Angeles, sept personnes pendant trois semaines, une aventure humaine incroyable. C’était un processus créatif profondément humain et collaboratif. Au-delà des images, il reste un souvenir, un goût partagé d’une force incroyable qui nous lie tous. »
Nicolas Bets
Côté technique, c’est donc la place de marché NFT SuperRare qui accueillera les œuvres numérisées sur blockchain de l’artiste. Et en l’occurrence, la frappe (minting) de ces tokens non fongibles de Nicolas Bets se fera sur le réseau Ethereum (ETH). Cette création artistique portera sur 15 images en tout, dont les deux premières seront mintées le 16 mai 2024. Petite originalité supplémentaire : ces NFT seront accompagnés d’une « capsule temporelle numérique » qui permettra aux collectionneurs remportant chaque enchère « d’inscrire une émotion, un message ou une réflexion personnelle qui sera éternellement liée à l’œuvre d’art sur la blockchain ».
Photo d’illustration par Nicolas Bets.